Logo du club de rugby Colomiers Rugby

Notre histoire

1915 – 1928

Les débuts du club

Bien que le rugby apparaisse en France en 1872, Colomiers crée sa première équipe en 1915.

Pour se mettre en tenue, les joueurs se changent au café Berger. Ils rejoignent à pied le terrain du Garroussal, route de Cornebarrieu. À cette époque, ils alimentent une cagnotte collective de 20 sous par personne pour aider financièrement le club

En 1922, les premières difficultés arrivent : les meilleurs joueurs sont recrutés par les grandes équipes de la région. Le club n’a plus les moyens pour se développer. Six ans après, l’équipe de rugby n’existe déjà plus et du basket voit le jour, pour une saison seulement. Malgré quelques tentatives pour relancer le sport columérin, un vide sportif se fera ressentir durant plusieurs années.

1963 – 1975

Une renaissance et quelques déceptions

Le mois de mai 1963 fut le début d’une renaissance pour le club de rugby de Colomiers. C’est le 24 mai 1963 que va avoir lieu la première réunion entre jeunes et anciens joueurs de rugby, afin de redresser le club. Six jours plus tard, le premier bureau est créé. Le premier président de l’US Colomiers sera nommé en la personne de Raymond Paupy. En parallèle, la mairie de la ville met en place un complexe sportif, route de Tournefeuille, pour l’équipe de football et celle de rugby.

Le 16 juin 1963, le premier entraînement a lieu sous la houlette de Libaros et Sylvain dans « une ambiance parfaite de camaraderie ». Engagé dans le championnat régional en 4e série, l’US Colomiers Rugby se retrouve avec huit équipes : TCMS, AS Bréguet, Portet-sur-Garonne, Carbonne, Castelnau Durban, RC Pyrénéen et l’Isle-en-Dodon. Avec un bilan d’une victoire, trois matchs nuls et dix défaites, cette année-là servira essentiellement de rodage pour la suite.

L’année suivante, en championnat avec des clubs comme Muret, Carbonne, Saint-Sulpice, Villefranche-de-Lauragais ou encore Tarascon, l’US Colomiers Rugby signera une saison réussie. Un bilan de dix victoires, deux matchs nuls et seulement deux défaites. La Colombe finit première ex æquo avec Portet et se qualifie donc pour les phases finales. Malgré une défaite 6 à 9 contre le TCMS, l’équipe accède en championnat de 3e série.

Lors de l’intersaison, les dirigeants renforcent l’effectif avec des joueurs de qualité, tel que Vanderstrein. Confronté à Castelnau d’Urban, Prat Bonrepaux, Muret, Belesta, TEC et le Gallia Club Toulousain, l’US Colomiers Rugby survole la première phase de championnat, avec un homme en forme : Gomez. Durant la phase finale, les coéquipiers de Pierre Vidal dominent Portet-sur-Garonne en demi-finale (15-6), et Muret en finale (9-6) du championnat des Pyrénées de 3ème série. Le club remporte son premier titre, seulement deux ans après sa reconstitution !

Neuf ans durant lesquels la progression du club n’est pas régulière. Orphelin de Vanderstein et Vidal partis à l’intersaison, l’US Colomiers Rugby connaît une saison compliquée. Ces départs sont une des raisons des principaux maux de l’équipe. Le président Raymond Paupy, l’explique pour La Dépêche du Midi : « Les départs de Van Derstrein et Vidal à l’intersaison ont également pesé, de même qu’un nombre de blessures assez important durant la saison ». Malgré les analyses de l’homme fort du club, l’US Colomiers Rugby enchaîne les saisons décevantes et ne parvient pas à accéder à la troisième division.

C’est en 1970 qu’un objectif ambitieux est mis en place, et vient confirmer un exercice 1969-1970 réussi. La ferveur commence à revenir autour de la Colombe, les ambitions aussi, mais les années qui suivent furent décevantes, tant dans le jeu que dans la réalisation des objectifs.

1975 – 1998

L’arrivée dans l’élite, et la consécration pour la formation columérine

Emmenée par le nouvel entraîneur Pierre Bergès, récemment arrivé de Lombez, l’équipe va réaliser un championnat abouti. Avec neuf victoires et quatre défaites, elle dispute les barrages qualificatifs pour le championnat de France.

Après avoir battu Haut Salat puis Sainte-Foy, l’équipe accède aux 32ème de finale du championnat de France. Victorieuse de Montpellier (18-13) en 16ème de finale, l’US Colomiers Rugby rencontre Saint-Lary pour pouvoir accéder en 3ème division nationale. Les hommes de Pierre Bergès s’imposeront 9 à 6 après une rencontre incertaine jusqu’au bout. Douze ans après la création du club, la porte s’ouvre enfin. L’US Colomiers Rugby jouera en 3ème division fédérale.

La saison suivante, l’équipe confirme sa montée en réalisant de bonnes prestations comme cette victoire le 28 novembre 1976, contre le leader Saint-Gaudens. Avec onze victoires, un match nul et six défaites, les bleus et blancs accèdent aux phases finales. Opposé à Capdenac en 32ème de finale, l’US Colomiers Rugby sera battue sur le score de 4 à 7.

À l’orée de la deuxième saison en nationale, le club voit le président Raymond Paupy et le talonneur Michel Bendichou se relever de leurs fonctions. Après treize années passées à la tête du club, le désormais ex-président, décide de quitter les bureaux, mais honore le titre de président d’honneur. Michel Bendichou, lui, intégrera le bureau quelques années plus tard, et deviendra président du club en 1981. Concernant le championnat, l’US Colomiers Rugby ne finira que cinquième à cause d’un début de saison ratée.

À partir de 1978, le nouveau président Brunet déclare sa volonté de « former des joueurs mais aussi des hommes ». L’objectif est donc clair : s’appuyer sur les jeunes tout en ayant des résultats sportifs convaincants.

Le début de saison 1979-1980 est marqué par l’arrêt de Pierre Bergès au poste d’entraîneur. Il sera remplacé par José Osès en tant qu’entraîneur-joueur. Dès lors, un nouvel élan est déclenché, et la volonté de s’appuyer sur la jeunesse est marquée par les titularisations de Bernard Udari à la mêlée, et Norbert de la Purification à l’ouverture, âgés de dix-sept ans.

Bien structurée sur toutes ses lignes, l’US Colomiers Rugby nourrit de fortes ambitions. À l’issue de cette première phase de championnat, l’équipe se qualifie pour les phases finales du championnat. Une victoire aux prolongations face à Montpellier (24-18) permettra d’accéder à la division supérieure. Une réussite pour tout un club !

L’année 1982 marque une nouvelle ère dans l’histoire du club : la montée en puissance des jeunes. Un atout indéniable qui fait toujours le bonheur du club aujourd’hui. L’exemple le plus frappant se trouve le 20 mai 1985. En plein mois de printemps, l’équipe des Juniors Reichel remporte le titre de champion de France en dominant le PUC (Paris Université Club) 19 à 3 ! Créée il y a tout juste quinze ans par Jean-Claude Skrela, l’école de rugby fait déjà ses preuves. L’année d’après, cette même catégorie remportera pour la deuxième fois consécutive ce titre de champion de France. Une manière élégante de saluer la mémoire de Raymond Paupy, fondateur du club, décédé au mois de février.

À partir de 1987, le championnat de France est réorganisé selon une nouvelle formule : une première phase avec seize groupes de cinq équipes, où seuls les deux premiers de chaque groupe iront dans le groupe A, le groupe élite. Colomiers finit troisième, derrière les intouchables équipes de Grenoble et Hyères. Les Columérins sont ainsi placés dans le groupe B avec une élimination aux portes du groupe A, suite à une défaite en quart de finale contre Rumilly (6-21).

L’US Colomiers Rugby revient cette année avec de nouvelles ambitions, et va vite le faire savoir : dès les premières rencontres, l’équipe emmenée par Christian Déléris et José Osès, va marquer son territoire avec des succès importants, contre Marmande (18-15), Vichy (30-3) et Mazamet (15-13).

Le match « choc » aura lieu le 2 octobre 1988, contre Bègles, à Sèlery. Emmené par un Fabien Galthié transcendé, et un Etcheverry à l’aise au pied, Colomiers signe une victoire retentissante sur le score de 18 à 15. À la fin de cette première phase, le club fait son entrée dans le groupe A, et intègre ainsi l’élite du rugby français. L’US Colomiers Rugby sera même décrit comme étant « un club exemplaire » par le président de la Fédération Française de Rugby, Albert Ferrasse.

« Notre effectif plus riche, notre expérience supérieure, devraient nous permettre de progresser comme nous le souhaitons » : voici les mots prononcés par Christian Déléris au Midi Olympique le 14 septembre 1989. Quelques mois plus tard, Colomiers sort de la première phase avec sept victoires sur huit matchs disputés. La Colombe intègre ainsi le groupe A. Ses neuf victoires en quatorze matchs lui ouvrent les portes des 1/8ème de finale du championnat de France. Pour la première fois, les bleus et blancs se retrouvent parmi les seize meilleures équipes de l’Hexagone.

En 1991, Colomiers affronte non pas une fois, mais quatre fois le club de Montauban dont l’entraîneur n’est autre que Christian Jutge, légende de Colomiers. En cette fin d’année 1991, le club à la colombe finit 3ème de la poule avec 11 victoires, 1 nul et 6 défaites.

Dès 1992, l’équipe se consolide avec deux nouveaux joueurs néo-zélandais : Daryl Williams et Robert Gordon, ainsi que d’un deuxième entraîneur : Jean-Claude Skréla.

En 1994, Colomiers Rugby s’incline face au Stade toulousain 32 à 12. Le club termine alors dernier de la poule 1 des play-off. C’est en juin de cette même année que Christian Déléris, après huit ans au club, le quitte.

Le rugby se démocratise de plus en plus dans les années 1995 via les chaînes de télévision privées, payantes et à gros capitaux, permettant aux clubs professionnels et semi-professionnels de se faire encore plus connaître.

L’année 1997 devient décisive pour le club. La Colombe gagne 31 à 26 face au C.A Brive Corrèze, alors champion d’Europe en titre, et favori à la course au bouclier de Brennus. Mais l’équipe finit par s’incliner face au Stade Toulousain, quadruple champion de France.

Colomiers montre tout son talent en accédant aux quarts de finale de la Conférence européenne (aujourd’hui Challenge Cup), après quatre victoires. Le club à la colombe bat de nouveau Montferrand (23-13) en quart de finale le 09/11/97. Puis de nouveau face au Stade Français (19/13), pour finir par remporter le titre face à Agen avec un score de 45 à 3 le 1er février 1998. En championnat de France, les bleus et blancs iront cette année-là jusqu’en 1 /2 finale mais ils s’inclineront à Nîmes le 10 mai 1998 face à Perpignan, 15 à 13.

1998 – 2000

L’aube d’un nouveau siècle

Lors de la saison 98-99, Colomiers fait ses premiers pas dans le rugby professionnel, dirigé par Serge Blanco, constitué de vingt-quatre équipes, groupées en trois poules de huit. Durant cette saison, l’USC confirme son statut d’équipe de haut niveau et entame trois tableaux : la coupe de France, la coupe d’Europe et le championnat de France.

En ce qui concerne le championnat de France, Colomiers a eu bien du mal à sauver sa qualification après avoir perdu à domicile face à une équipe de Grenoble que l’on croyait moribonde mais qui restera la bête noire de Colomiers lors des phases finales du championnat (Colomiers s’inclinera en quarts de finale, 26-28 face à Grenoble au Stade des Sept-Deniers).

Mais ce qui restera de cette saison à suspense, est certainement la merveilleuse aventure européenne des Bleus et Blancs, une marche triomphale vers une finale hélas ratée. Sans avoir à rougir de perdre à Dublin devant 50 000 Irlandais réunifiés, contre une sélection de la province d’Ulster qui s’était offert les deux stades (Toulousain et Français) en guise de mise en bouche, on gardera tout de même la certitude que Colomiers a manqué le coche, car l’équipe de ce jour glorieux n’a pas su, pétrifiée par l’enjeu, faire le jeu qu’elle savait si bien faire les jours de grand soleil, un jeu qui la plaçait bien au-dessus de son adversaire.

La saison suivante, en coupe de France, le club s’incline 41 à 19 face à Bègles le 27 février 1999 en 1/8ème de finale. En coupe d’Europe, les joueurs accumulent les petites erreurs jusqu’à une supposée « fourchette » lors d’une mêlée, qui vaudra deux ans d’exclusion à Richard Nones. Colomiers chute deux fois face au Munster et ne franchit pas les quarts de la compétition.

En 2000, passage au nouveau millénaire, pour la première fois de son histoire, Colomiers atteint la finale du championnat de France et touche, du bout des doigts, le mythique bouclier de Brennus. Hélas, dans le cadre prestigieux du Stade de France, les bleus et blancs échouent. Malgré tout, ils donnent une superbe image du rugby.

En face, il y avait le miraculé de la saison, le Stade Français-CASG en proie à des difficultés internes importantes. Le trophée leur revient sur le score de 28 à 23. Une chose va rester de cette finale pour nos Columérins : le regard de toute la France sur le club de Colomiers Rugby. Un regard « attendri » certes, mais aussi la reconnaissance unanime des valeurs de Colomiers.

Le parcours en championnat

Classé 3ème de la poule 1, à égalité de points avec le Stade Français, derrière l’inamovible Stade Toulousain, Colomiers Rugby était condamné à disputer les barrages (1/8) pour pouvoir espérer se qualifier en quart de finale. Ayant échoué en coupe d’Europe et coupe de France, la seule possibilité pour Colomiers Rugby de se qualifier pour la prochaine échéance européenne, était d’atteindre les demi-finales du championnat. Le match de barrage s’est joué à Narbonne, le 24 juin 2000, contre Bourgoin : victoire de la Colombe sur un score de 20 à 18. La porte était ouverte pour les quarts, le 1er juillet 2000, au Sept-Deniers (triste souvenir contre Grenoble au même endroit) contre Castres.

Ce quart de finale a vu la très nette victoire de Colomiers Rugby, contre un Castres Olympique méconnaissable, par 29 à 15. La demi-finale à Agen, le 8 juillet 2000, contre Pau a été sans conteste le match sommet de ce championnat, aux dires unanimes de tout ce qui se fait d’amateurs du beau jeu. Victoire après prolongation 24 à 22 (pénalité dans les dernières minutes de David Skréla).

Enfin la FINALE, le Saint Graal au bout des doigts, le voyage fantastique vers l’au-delà du Mont des Grands Champions. À tous égards, cela a été magnifique, même si une peine immense a suivi le coup de sifflet final. L’équipe de Colomiers Rugby a offert à la France une belle image de sa fraîcheur et, de cela, personne ne pourra jamais nous priver. Paris gardera donc pendant au moins un an ce bouclier qu’ils ont su arracher des bras des Toulousains, et que Colomiers Rugby n’a pas su reprendre.

2001 – 2004

Ombres au tableau

Colomiers Rugby retourne en seconde division dans le cadre du bouclier Européen après avoir tutoyé les sommets européens. L’équipe sort victorieuse contre Madrid puis Padoue, ce qui n’est pas suffisant face aux deux défaites contre Pau. Les supporters du club vont rester sur leur faim pour le reste de la saison …

2004 va être une année sombre pour Colomiers Rugby. Le 1er janvier, date d’un drame pour tout un club. Le président, Michel Bendichou, décèdera des suites d’un malaise. Il fut une personne emblématique de ce club. 37 ans sous le maillot columérin en ayant été joueur, capitaine, vice-président et président. Sous sa présidence de 1981 à 2004, la Colombe aura gagné un Challenge Européen en 1998, disputé une finale de coupe d’Europe en 1999 et une finale de Top 16 en 2000. Il aura su également inculquer la valeur humaine, de l’homme avant tout. Il était un guide et un rassembleur pour tout un groupe. Entre ambition et jeunesse, il a su emmener Colomiers au sommet du rugby européen. Pour lui rendre hommage, le stade est renommé en son nom, le 17 octobre 2004.

Côté financier, c’est une véritable incertitude pour l’ensemble du club. L’entreprise Des Sablières de la Garonne entre au capital de la SASP en s’engageant à combler une partie du déficit, après avoir racheté des parts détenues par l’ancien actionnaire. La municipalité met également la main à la pâte en accordant une subvention exceptionnelle pour garantir l’avenir du club à la colombe. À l’issue de cette saison, les bleus et blancs sont relégués en Fédérale 1 et la SASP disparaît. Durant cette saison, en troisième division, c’est Jean-Louis Dupouy, qui devient le président de l’association, et donc du club.

2005 – 2011

Un nouveau départ

La saison suivante, en 2005, l’équipe remonte directement en deuxième division en devenant champion de France de Fédérale 1. Le parcours aura été plutôt dégagé jusqu’à la demi-finale. Un match aller-retour face à Gaillac, pour une victoire, scores confondus, 51 à 50. La Colombe est de retour dans le monde professionnel. Alain Carré devient alors le nouveau président de Colomiers Rugby.

Le club se stabilisera durant deux saisons avant de redescendre en troisième division française en 2007. Comme lors du premier titre, les bleus et blancs remontent dès la saison suivante en étant de nouveau champions de France. La Colombe refera de nouveau l’ascenseur entre 2011 et 2012.

Lors de cette dernière descente, Colomiers s’impose, et réalise neuf victoires en neuf matchs. L’équipe a énormément changé. Elle termine première de la poule et au classement national. La Colombe finit par battre Massy (20-16). « Les Columérins ont terminé la rencontre comme ils l’avaient débuté, par un grand maul dévastateur. À la première minute du match, ce maul leur avait donné 3 points. À la soixante-quinzième, il leur fournit l’essai de la gagne » résume le Midi Olympique. Nouvelle accession en ProD2, nouveau titre ! Colomiers Rugby est actuellement le club le plus de titré de Fédérale 1.

2012 – 2018

Stabilisation en ProD2

Alain Carré a pour souhait de maintenir l’équipe en ProD2 en apportant de nouveaux éléments à l’équipe. En 2013, le président donne un objectif ambitieux mais grandement réaliste : « Ce n’est plus le maintien que l’on vise mais une place en demi-finale dans les trois ans. Pérennisé à ce niveau, Colomiers doit oublier le Top14 et être un bon club de ProD2 avec des ambitions. Le public revient, de nouveaux partenaires nous rejoignent et étoffent la surface financière du club ».

À partir de 2012, la situation du club est saine financièrement avec un budget dépassant les cinq millions d’euros dont plus de deux millions issus des partenariats. Cela permet au club d’investir dans les infrastructures comme la rénovation des loges, la création d’une salle de musculation pour les joueurs ou encore un nouvel espace réceptif.

Durant les années à venir, le club place un grand espoir, comme il l’a toujours fait, dans les équipes jeunes et souhaite les mettre en avant à travers l’école de rugby.

En 2015, l’USC se dote d’une équipe féminine composée d’une vingtaine de jeunes columérines cadettes, débutantes pour certaines. L’objectif est de développer une section complète féminine en cinq ans.

L’équipe première se renouvelle avec trois départs et onze nouveaux joueurs ! Le staff change aussi durant l’année 2017, avec Olivier Baragnon, qui prend les fonctions de manager général, accompagné de Marc Dantin (responsable des avants) et Julien Sarraute (lignes arrières). L’année suivante, ce dernier prendra le rôle d’entraîneur principal suite au départ d’Olivier Baragnon.

2019 – 2021

Des victoires et de l’espoir … jusqu’à la pandémie

L’objectif de cette nouvelle saison est de reconquérir encore plus le cœur de ses supporters après une saison 2018-2019 catastrophique. C’est sous la conduite de Julien Sarraute et Fabien Berneau que la saison démarre.

Pour ce faire, les joueurs du club à la colombe partent en stage à Saint-Lary-Soulan dans le but de ne pas revivre une saison difficile. Pari relevé grâce à plusieurs outils mis en place : recrutement ciblé, jeunesse, organisation défensive, formations des avants et travail spécifique de la mêlée prodigué par Gurthrö Steenkamp, ancien pilier gauche du Stade Toulousain et de l’équipe d’Afrique du Sud, mais également avec le précieux appui de deux « enfants du club » : Fabrice Culinat, intervenant sur le travail des demis de mêlée, et David Skrela, qui s’occupe du jeu au pied.

Au printemps, les bleus et blancs, après 23 journées, sont leaders avec un point d’avance sur Perpignan et 10 sur Grenoble. À sept journées de la fin, la place en demi-finale est assurée car l’équipe doit jouer contre Biarritz 6ème, à 18 points de Colomiers Rugby. Mais la crise sanitaire laisse place au confinement puis aux restrictions du gouvernement. Le championnat n’ira pas jusqu’au bout.

Après avoir digéré la frustration d’une saison inachevée, le club relève la tête et s’investit pleinement dans la préparation de la saison suivante…

 

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